GALERIE

FAMILLE ROYALE

Francisco de Goya 
<p><i>Marie-Louise en tenue de cour</i><p>juin 1800<p>huile sur toile<p>210 x 130 cm<p>© Madrid, Palacio Real.
<hr>Marie-Louise de Bourbon-Parme (1751-1819) épouse son cousin le futur Charle IV, en 1765, alors qu&apos;elle est âgée de 13 ans. Le couple eut quinze enfants Elle devient la maîtresse de Manuel Godoy qu&apos;elle fait nommer premier ministre, en 1788. Après la double abdication de Bayonne (1808), le couple est exilé en France (Compiègne, Fontainebleau, Marseille, Nice). Elle décède à Rome.
Francisco de Goya 
<p><i>Marie-Louise en tenue de cour</i><p>juin 1800<p>huile sur toile<p>210 x 130 cm<p>© Madrid, Palacio Real.
<hr>Marie-Louise de Bourbon-Parme (1751-1819) épouse son cousin le futur Charle IV, en 1765, alors qu&apos;elle est âgée de 13 ans. Le couple eut quinze enfants Elle devient la maîtresse de Manuel Godoy qu&apos;elle fait nommer premier ministre, en 1788. Après la double abdication de Bayonne (1808), le couple est exilé en France (Compiègne, Fontainebleau, Marseille, Nice). Elle décède à Rome.
Francisco de Goya 
<p><i>L&apos;infant Carlos María Isidro, étude pour le portrait de famille</i><p>1800<p>huile sur toile<p>74 x 60 cm<p>© Madrid, Prado.
<hr>Charles de Bourbon (1788-1855), fils cadet de Charles IV et de Marie-Louise, renonce au trône en 1808, après l&apos;entrevue de Bayonne. Détenu à Valençay, il revient à 

Madrid en 1814. À la mort de son frère, le roi Ferdinand VII qui n a pas eu d&apos;enfant mâle et qui abroge la loi salique, il dénonce les modifications dans l&apos;ordre de 

succession et se proclame roi des Espagnes (1833) et s engage dans la Première guerre carliste (1833-1846). Il abdique en faveur de son fils (1845) et meurt à Trieste en 

1855.
Francisco de Goya 
<p><i>L&apos;infante María Josefa, étude pour le portrait de famille</i><p>1800<p>huile sur toile<p>74 x 60 cm<p>© Madrid, Prado.
<hr>L&apos;infante María Josefa d&apos;Espagne (1744-1801), fille de Charles III et de Marie-Amélie de Saxe, est, par sa naissance, princesse de Naples et Sicile. Elle vit à la cour 

de son père puis de son frère Charles IV. Elle est restée célibataire.
Francisco de Goya 
<p><i>L&apos;infant François de Paule de Bourbon, étude pour le portrait de famille</i><p>1800<p>huile sur toile<p>74 x 60 cm<p>© Madrid, Prado.
<hr>L&apos;infant François de Paule de Bourbon (1794-1865) est le dernier fils de Charles IV et de Marie-Louise. On a parfois prétendu qu&apos;il était l&apos;enfant de Manuel Godoy. Le 

refus des Madrilènes de le voir partir vers la France, en 1808, est à l&apos;origine du soulèvenement du 2 mai.
Francisco de Goya 
<p><i>L&apos;infant Antonio Pascual, étude pour le portrait de famille</i><p>1800<p>huile sur toile<p>74 x 60 cm<p>© Madrid, Prado.
<hr>L&apos;infant Antonio Pascual (1755-1817), fils de Charles III et frère de Charles IV. Il épouse sa nièce Marie Amelie de Bourbon, en 1795, dont il n a pas de 

descendance.
Francisco de Goya 
<p><i>Luis de Borbón, prince de Parme, étude pour le portrait de famille</i><p>1800<p>huile sur toile<p>74 x 60 cm<p>© Madrid, Prado.
<hr>Louis Ier, roi d&apos;Étrurie (1773-1803), fils aîné de Ferdinand Ier, duc de Parme, et de Marie-Amélie de Habsbourg-Lorraine, épouse (1795) sa cousine Marie-Louise de 

Boubon, infante d&apos;Espagne.
Francisco de Goya 
<p><i>La famille de Charles IV</i><p>1800-1801<p>huile sur toile<p>280 x 336 cm<p>© Madrid, Prado.
<hr>
Francisco de Goya 
<p><i>Ferdinand, Prince des Asturies</i><p>1800<p>huile sur toile<p>83,2 x 66,7 cm<p>© New York, M.M.A.
<hr>Ferdinand de Bourbon (1784-1833), fils de Charles IV et de Marie-Louise de Bourbon-Parme, porte le titre de Prince des Asturies comme tous les héritiers du trône 

d Espagne, et devient roi (1808) sous le nom de Ferdinand VII.
Francisco de Goya 
<p><i>L&apos;infante María Isabel</i><p>1800<p>huile sur toile<p>84 x 67 cm<p>© Collection inconnue.
<hr>L&apos;infante Marie Isabelle d&apos;Espagne (1789-1848) est la quatrième fille de Charles IV et de Marie-Louise de Bourbon-Parme. Comme l&apos;infant François de Paule, elle pense 

qu&apos;elle est la fille de Manuel Godoy. Elle épouse (1802), le roi François Ier des Deux-Siciles.
Francisco de Goya 
<p><i>Le cardinal Luis María de Borbón</i><p>1800<p>huile sur toile<p>200 x 106 cm<p>© Sao Paulo, Musée.
<hr>Louis Marie de Bourbon (1777-1823), fils du cardinal Luis Antonio Jaime de Borbón y Farnesio et de Marie Thérèse de Vallabriga, est le neveu du roi Charles III. Très 

jeune, il a la vocation et cède (1795) son titre nobiliaire (comte de Chinchón) à sa soeur Marie-Thérèse de Bourbon et Villabriga. Le mariage de cette dernière avec Manuel 

Godoy lui permet de devenir archevêque de Tolède et cardinal. Il reçoit la Toison d&apos;Or et le titre de Grand d&apos;Espagne. Lors de l&apos;invasion napoléonienne, il demeure en 

Espagne, se réfugie en Andalousie et participe aux Cortes de Cadix. Il signe le décret de suppression de l&apos;Inquisition. Ses positions libérales l&apos;opposent à Ferdinand VII, 

en particulier pendant le Triennat libéral (1820-1823) auquel il participe. Il est enterré dans la cathédrale de Tolède.
Francisco de Goya 
<p><i>Le cardinal Luis María de Borbón</i><p>1800<p>huile sur toile<p>214 x 136 cm<p>© Madrid, Prado.
<hr>Louis Marie de Bourbon (1777-1823), fils du cardinal Luis Antonio Jaime de Borbón y Farnesio et de Marie Thérèse de Vallabriga, est le neveu du roi Charles III. Très 

jeune, il a la vocation et cède (1795) son titre nobiliaire (comte de Chinchón) à sa soeur Marie-Thérèse de Bourbon et Villabriga. Le mariage de cette dernière avec Manuel 

Godoy lui permet de devenir archevêque de Tolède et cardinal. Il reçoit la Toison d&apos;Or et le titre de Grand d&apos;Espagne. Lors de l&apos;invasion napoléonienne, il demeure en 

Espagne, se réfugie en Andalousie et participe aux Cortes de Cadix. Il signe le décret de suppression de l&apos;Inquisition. Ses positions libérales l&apos;opposent à Ferdinand VII, 

en particulier pendant le Triennat libéral (1820-1823) auquel il participe. Il est enterré dans la cathédrale de Tolède.
Francisco de Goya 
<p><i>La comtesse de Chinchón</i><p>avril 1800<p>huile sur toile<p>216 x 144 cm<p>© Madrid, Duque de Sueca.
<hr>María Teresa de Borbón y Vallabriga (1780-1828), fille de l&apos;infant Luis Antonio de Borbón y Farnesio et María Teresa de Vallabriga y Rozas. Son mariage avec Manuel Godoy 

(1797) lui permet d&apos;asseoir sa situation sociale, mais n écarte pas pour autant la maîtresse de son époux, Pepita Tudó. Après la mort de son frère, le cardinal Luis María de 

Borbón, elle s exile à Paris (1824) où elle meurt.
Francisco de Goya 
<p><i>Portrait équestre de Ferdinand VII</i><p>avril 1808<p>huile sur toile<p>285 x 205 cm<p>© Madrid, Real Academia de San Fernando.
<hr>Ferdinand de Bourbon (1784-1833), fils de Charles IV et de Marie-Louise de Bourbon-Parme, détrône son père lors du soulèvement d&apos;Aranjuez (17 mars 1808), règne deux 

mois, puis abdique lors de l&apos;entrevue de Bayonne (1808) en faveur de Joseph Bonaparte. Après la guerre d&apos;Indépendance, il retrouve son trône (1814-1820) et rétablit 

l&apos;absolutime. Le Triennat libéral (1820-1823) le contraint à respecter la constitution de 1812. Mais en 1823, il rétablit l&apos;absolutisme et s&apos;emploie à persécuter les 

libéraux pendant la Décennie abominale [Década ominosa] (1823-1833). À sa mort, il laisse l&apos;Espagne dans une situation dynastique complexe qui ouvre une période 

d&apos;instabilité (Guerre carliste).
Francisco de Goya 
<p><i>Ferdinand VII</i><p>juin-juillet 1814<p>huile sur toile<p>103 x 82 cm<p>© Pampelune, Diputación foral.
<hr>Ferdinand de Bourbon (1784-1833), fils de Charles IV et de Marie-Louise de Bourbon-Parme, détrône son père lors du soulèvement d&apos;Aranjuez (17 mars 1808), règne deux 

mois, puis abdique lors de l&apos;entrevue de Bayonne (1808) en faveur de Joseph Bonaparte. Après la guerre d&apos;Indépendance, il retrouve son trône (1814-1820) et rétablit 

l&apos;absolutime. Le Triennat libéral (1820-1823) le contraint à respecter la constitution de 1812. Mais en 1823, il rétablit l&apos;absolutisme et s&apos;emploie à persécuter les 

libéraux pendant la Décennie abominale [Década ominosa] (1823-1833). À sa mort, il laisse l&apos;Espagne dans une situation dynastique complexe qui ouvre une période 

d&apos;instabilité (Guerre carliste).
Francisco de Goya 
<p><i>Ferdinand VII</i><p>1814 ?<p>huile sur toile<p>? cm<p>© Madrid, Duque de Tamames.
<hr>Ferdinand de Bourbon (1784-1833), fils de Charles IV et de Marie-Louise de Bourbon-Parme, détrône son père lors du soulèvement d&apos;Aranjuez (17 mars 1808), règne deux 

mois, puis abdique lors de l&apos;entrevue de Bayonne (1808) en faveur de Joseph Bonaparte. Après la guerre d&apos;Indépendance, il retrouve son trône (1814-1820) et rétablit 

l&apos;absolutime. Le Triennat libéral (1820-1823) le contraint à respecter la constitution de 1812. Mais en 1823, il rétablit l&apos;absolutisme et s&apos;emploie à persécuter les 

libéraux pendant la Décennie abominale [Década ominosa] (1823-1833). À sa mort, il laisse l&apos;Espagne dans une situation dynastique complexe qui ouvre une période 

d&apos;instabilité (Guerre carliste).
Francisco de Goya 
<p><i>Ferdinand VII</i><p>octobre-décembre 1814<p>huile sur toile<p>225,5 x 124,5 cm<p>© Santander, Musée.
<hr>Ferdinand de Bourbon (1784-1833), fils de Charles IV et de Marie-Louise de Bourbon-Parme, détrône son père lors du soulèvement d&apos;Aranjuez (17 mars 1808), règne deux 

mois, puis abdique lors de l&apos;entrevue de Bayonne (1808) en faveur de Joseph Bonaparte. Après la guerre d&apos;Indépendance, il retrouve son trône (1814-1820) et rétablit 

l&apos;absolutime. Le Triennat libéral (1820-1823) le contraint à respecter la constitution de 1812. Mais en 1823, il rétablit l&apos;absolutisme et s&apos;emploie à persécuter les 

libéraux pendant la Décennie abominale [Década ominosa] (1823-1833). À sa mort, il laisse l&apos;Espagne dans une situation dynastique complexe qui ouvre une période 

d&apos;instabilité (Guerre carliste).
Francisco de Goya 
<p><i>Ferdinand VII dans un camp</i><p>1814<p>huile sur toile<p>207 x 140 cm<p>© Madrid, Prado.
<hr>Ferdinand de Bourbon (1784-1833), fils de Charles IV et de Marie-Louise de Bourbon-Parme, détrône son père lors du soulèvement d&apos;Aranjuez (17 mars 1808), règne deux 

mois, puis abdique lors de l&apos;entrevue de Bayonne (1808) en faveur de Joseph Bonaparte. Après la guerre d&apos;Indépendance, il retrouve son trône (1814-1820) et rétablit 

l&apos;absolutime. Le Triennat libéral (1820-1823) le contraint à respecter la constitution de 1812. Mais en 1823, il rétablit l&apos;absolutisme et s&apos;emploie à persécuter les 

libéraux pendant la Décennie abominale [Década ominosa] (1823-1833). À sa mort, il laisse l&apos;Espagne dans une situation dynastique complexe qui ouvre une période 

d&apos;instabilité (Guerre carliste).
Francisco de Goya 
<p><i>Ferdinand VII en manteau royal</i><p>1814<p>huile sur toile<p>212 x 146 cm<p>© Madrid, Prado.
<hr>Ferdinand de Bourbon (1784-1833), fils de Charles IV et de Marie-Louise de Bourbon-Parme, détrône son père lors du soulèvement d&apos;Aranjuez (17 mars 1808), règne deux 
mois, puis abdique lors de l&apos;entrevue de Bayonne (1808) en faveur de Joseph Bonaparte. Après la guerre d&apos;Indépendance, il retrouve son trône (1814-1820) et rétablit 
l&apos;absolutime. Le Triennat libéral (1820-1823) le contraint à respecter la constitution de 1812. Mais en 1823, il rétablit l&apos;absolutisme et s&apos;emploie à persécuter les 
libéraux pendant la Décennie abominale [Década ominosa] (1823-1833). À sa mort, il laisse l&apos;Espagne dans une situation dynastique complexe qui ouvre une période 
d&apos;instabilité (Guerre carliste).
Francisco de Goya 
<p><i>Ferdinand VII en manteau royal</i><p>septembre 1814-juillet 1815<p>huile sur toile<p>280 x 125 cm<p>© Saragosse, Musée.
<hr>Ferdinand de Bourbon (1784-1833), fils de Charles IV et de Marie-Louise de Bourbon-Parme, détrône son père lors du soulèvement d&apos;Aranjuez (17 mars 1808), règne deux mois, puis abdique lors de l&apos;entrevue de Bayonne (1808) en faveur de Joseph Bonaparte. Après la guerre d&apos;Indépendance, il retrouve son trône (1814-1820) et rétablit l&apos; absolutime. Le Triennat libéral (1820-1823) le contraint à respecter la constitution de 1812. Mais en 1823, il rétablit l&apos;absolutisme et s&apos;emploie à persécuter les libéraux pendant la Décennie abominale [Década ominosa] (1823-1833). À sa mort, il laisse l&apos;Espagne dans une situation dynastique complexe qui ouvre une période d&apos;instabilité (Guerre carliste).

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