Madrid au cinema

Don Lucio y el hermano Pío (1960) 

Topographie

Atocha (Arganzuela)

La gare est achevée en 1851 et Isabelle II inaugure le "train de la Fraise" qui va à Aranjuez. Un incendie la détruit en 1863. Plusieurs inaugurations rythment son existence: 1892 puis 1992, où de nouveaux quais sont réservés à l'AVE. Le 11 mars 2004, un attentat fait des centaines de victimes.

Frère Pío arrive à Madrid.

 

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© 1960 Arturo González Producciones Cinematográficas

Posada del León de Oro [Cava Baja, 12] (Centro)

Datant du XIXe siècle, la Posada, installée dans une Corrala, conserve des restes de l'ancienne muraille chrétienne du XIIe siècle. Depuis 2010, elle est devenue un hôtel de charme dont le restaurant propose une cuisine traditionnelle.

Le frère Pío rentre dans la Posada où il a l'habitude de se loger.

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© 1960 Arturo González Producciones Cinematográficas

Real Colegiata de San Isidro y Nuestra Señora del Buen Suceso (Centro)

Oeuvre du jésuite Pedro Sánchez, elle est terminée, en 1664, par Francisco Bautista et Melchior de Bueras. En 1769, elle est placée sous le patronage de San Isidro, saint patron de Madrid. En 1936, elle est incendiée. De 1885-1993, elle est cathédrale provisoire, avant l'achèvement de la catedral de La Almudena.

Frère Pío se rend à l'église pour prier, en espérant retrouver la statuette de l'enfant Jésus qu'on lui a volée.

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© 1960 Arturo González Producciones Cinematográficas

El Rastro (Centro)

Le mot "rastro" désignait autrefois le lieu où l'on tuait et l'on traînait les moutons. Aujourd'hui, on utilise le terme pour désigner les puces. Au XIVe siècle, il existait des friperies (rues Los Estudios, Cuervo et San Dámaso). En 1496, les tanneurs s'y installent et, vers la fin du XVIIe siècle, ils commencent à vendre les dépouilles animales, les peaux, les cuirs... Au siècle suivant, surgissent les vendeurs ambulants et au XIXe siècle, les abattoirs disparaissant, le Rastro se change en marché aux puces.

Une vue générale de Ribera de Curtidores.

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© 1960 Arturo González Producciones Cinematográficas

Galerías Piquer [Ribera de Curtidores, 29] (Centro)

Sur d'anciens terrains occupés par des maisons basses et le Corralón del Francés (du nom du fripier français Bargues), les Galerías Piquer sont inaugurées en 1950. Elles doivent leur nom à la chanteuse Conchita Piquer, l'un des promotteurs du projet. Les différents postes sont occupés par des antiquaires. Avec ses toits en ardoise et ses colonnes toscanes, l'ensemble s'inspire lointainement de l'Escorial

Frère Pío, accompagné de don Lucio, cherche la statuette volée.

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© 1960 Arturo González Producciones Cinematográficas

Nuevas Galerías [Ribera de Curtidores, 12] (Centro)

À la suite du succès des Galerías Piquer, les Nuevas Galerías ouvrent en 1952.

Frère Pío et don Lucio, qui n'ont rien trouvé, se retrouvent à l'entrée des Nuevas Galerías.

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© 1960 Arturo González Producciones Cinematográficas

Tenencia de Alcaldía de la Latina [Calle Amazonas, 1] (Centro)

Située là où se trouvait autrefois les anciens abattoirs (la Casa Matadero), la Tenencia de Alcaldía, oeuvre de l'architecte Francisco Javier Ferrero Llusiá (1891-1936), est inaugurée en 1932. De style néo-baroque, elle abrite, depuis 1995, la Escuela Mayor de Danza.

Frère Pío, sur les conseils de don Lucio, vend des ballons pour les enfants.

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© 1960 Arturo González Producciones Cinematográficas

Almacenes Simeón [Plaza del Ángel, 8] (Centro)

Ouverts en 1923, au rez-de-chaussée de l'Hotel Reina Victoria, les Almacenes Siméon multiplient leur magasins (2 en 1965 et 6 en 1975). Ils se consacrent d'abord aux tissus et à la confection, puis se diversifient (cuisine, meubles...).

Don Lucio attend une jeune employée, sa fiancée Mari, à la sortie du magasin.

 

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© 1960 Arturo González Producciones Cinematográficas

Puente de Segovia (Latina)

Attribué à Juan de Herrera, il est construit entre 1572 et 1584. Il doit son nom au chemin qui conduit à la ville de Ségovie. Detruit au début de la Guerre Civile, il a été reconstruit avec quelques transformations. Il enjambe le Manzanares.

Mari demande à Don Lucio de changer de vie et de rendre la statuette de l'enfant Jésus.
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© 1960 Arturo González Producciones Cinematográficas

[à localiser]

Don Lucio et le Frère Pío se dirigent vers le bar afin de récupérer la statuette. 

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© 1960 Arturo González Producciones Cinematográficas

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